C’est parfois farfelu de penser à compter le temps que l’on dépense à travailler, mais le verdict peut être très choquant. Soit nous passons dix ans, au minimum, de notre vie à travailler ! Le reste du temps, nous dormons, nous faisons des rencontres, prenons des détentes et d’autres petites taches connexes. Entre autres, dépenser dix ans au sein d’une routine sans fin et auxquels nous souhaitons impatiemment la retraite est un dessein que l’on attend le moins. Autant ainsi donner un sens au travail.
Déjà, qu’entend-on avec sens du travail ?
L’homme doit être maître de ces décisions et non l’inverse. Soit avant de penser au travail à son exécution, il doit faire un petit recul et être en paix avec lui-même. A lui par la suite de choisir une orientation ou notamment « un sens » à cette partie de sa vie. Soit, il doit être convaincu par lui-même ou se fait aider par un coach personnel, à donner un sens à sa vie et conséquemment à son travail, à son équipe et à son entreprise.
Le travail est un domaine dans lequel, les communs de mortels puisent ses ressources. Guidé par des principes, des normes sociales, des valeurs et surtout le fonctionnement du marché ou produit traité, le travail est assimilé à une piscine. Le travailleur de son côté est le nageur. Il nage dans un sens ou dans l’autre en fonction de l’exercice, qu’il pense améliore ses performances musculaires, il goûte en parallèle aux plaisir et détente. Pour atteindre ses objectifs, le maître-nageur l’accompagne.
Bref, le sens de travail est l’orientation choisie pour mener à bien l’exercice de ses fonctions. Il traite à la fois des aspects de développement personnel qui se converge naturellement vers celui professionnel. Le principe est simple : pour s’épanouir au travail, les travailleurs se considèrent ou sont considérés tout d’abord en tant qu’être humain.
Quelles manières adopter pour donner un sens au travail ?
C’est un article qui s’adresse aux travailleurs et aussi aux leaders. Et pour que le cadre de travail permette un épanouissement des travailleurs, il faut considérer naturellement les codes et éthiques du travail, les exigences du marché. Les gestions des ressources humaines ont un rôle crucial dans la constitution de l’équipe.
De son côté, le leader fixe les objectifs SMART (Spécifique, Mesurable, Atteignable et Réalisable dans le temps), tisse entre les collaborateurs les chaines d’exécutions via des motivations, des encouragements, des rappels, un bon flux d’informations. Lorsque ces derniers sont atteints, il ne manquera pas l’occasion de les remercier et de les accompagner à monter l’échelle. Tous les moyens sont bons à ce titre : les teams building, les afterworks, les salles de presses.
Au bout de chaque fil, les travailleurs respectent leurs engagements. Pour y parvenir, des limites seront instaurées entre la frontière personnelle et professionnelle sans délaisser ni l’un ni l’autre. Si chacun d’eaux est engagé, l’équipe entre naturellement en cohésion et se rue vers l’objectif fixé.